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La SPEDIDAM veut vos sous...

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 Actualités

Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :

La SPEDIDAM veut vos sous... ()

Après son lobbying pour instaurer une taxe sur les CD vierges, la Spedidam essaye de peser pour taxer l'usage d'internet. Adhérent de la Spedidam (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-Interprètes de la Musique et de la Danse), j'ai eu la surprise de recevoir ce matin un appel à signer une pétition pour l'instauration d'une rémunération perçue auprès des fournisseurs d'accès, au bénéfice des artistes interprètes, en contrepartie de laquelle les échanges de fichiers entre internautes pourront être librement réalisés (sic) Préparez vous à payer 10 euros de plus par mois pour votre connexion haut débit!

La Spedidam attaque six plates-formes de téléchargement pour contrefaçon... ()

La Spedidam, qui représente les artistes-interprètes, part à l'attaque des plates-formes payantes de téléchargement de musique.

Piratage: la Spedidam dénonce le cocorico anachronique de la SCPP... ()

La Spedidam, qui représente et défend les intérêts des artistes-interprètes, vient de réagir après la décision du Conseil d'Etat du 23 mai... [Lire la suite]

interview - « Le téléchargement sur les réseaux P2P relève de la copie privée »... ()

Ancien juriste au Forum des droits sur l'Internet et actuellement responsable Nouvelles techniques à la Spedidam, société d'artistes-interprètes, le juriste tente de tirer sur des enseignements de plus d'une demi-douzaine de procès d'usagers du peer-to-peer depuis 2004.

Les Français favorables à un forfait légalisant le P2P... ()

La « licence globale » à la cote. Plus de 75% des internautes français sont favorables à un forfait mensuel légalisant l'échange de fichiers, d'après un sondage de Médiamétrie commandé par la Spedidam. Les internautes, ...

Droits d'auteur, peer to peer, musique numérique : le débat... ()

La Fing avec le soutien des associations de gestion de droits d'auteur, l’ADAMI et la SPEDIDAM, ouvre un espace de discussion sur les rapports entre la musique et le numérique. Nous avons mis en place, hier 19 juin, une plateforme...

La SPEDIDAM attaque les sites de vente en ligne... ()

Source : PC InpactLa SPEDIDAM (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-interprètes de la Musique et de la Danse) va assigner en justice les 6 principaux sites de vente en ligne de musique dont bien entendu l'iTMS. Elle leur reproche de ne pas avoir obtenu l'autorisation écrite de chaque artiste français avant de vendre leurs morceaux. A titre de compensation, elle réclame la modique somme de 3,5 millions d'Euros et taxe les sites de vente en ligne de pourvoyeurs de contrefaçons massives. Sans connaître précisément les tenants et les aboutissants de cette histoire, difficile de ne pas avoir l'impression que certains marchent sur la tête. Quel intérêt auraient les artistes français à ne plus être présents sur les sites de vente en ligne, seuls réellement capables d'endiguer le téléchargement illégal et de leur assurer un revenu ? Est-ce que la SPEDIDAM parle réellement en leur nom ? Cette pression n'est-elle pas là pour engranger plus d'argent sur cette manne ? Comme vous pouvez le constater, ce dépôt de plainte a tendance à soulever bien plus de questions qu'à apporter de réponses. Imaginant ce que doivent représenter les revenus liés au marché français dans le monde, les vendeurs en ligne risquent surtout de fermer boutique dans notre pays, ne laissant pas d'alternative légale à ceux qui souhaitent acheter leur musique sans se déplacer. PS : Si vous devez réellement acheter quelque chose actuellement, jetez vous sur l'intégrale de Mozart en 170 CD pou...

Bataille entre les ayant droits et les Majors... ()

Source : PC InpactAvant d'aller plus loin, nous vous rappelons que c'est aujourd'hui que l'assemblée nationale commence l'étude de la loi DADVSI, écrite (ou dictée) en grande partie par les Majors pour défendre leurs intérêts au mépris de toutes les libertés individuelles. Les Majors, via le syndicat SNEP (Syndicat national des éditeurs phonographiques), sont en train de s'opposer aux ayant droits (artistes) et leur représentation, le SPEDIDAM (société de perception et de distribution des droits des artistes-interprètes de la musique et de la danse). Si l'on fait trop souvent l'amalgame de beaucoup de choses, ces deux groupements défendent des intérêts qui divergent de manière significative. Les Majors défendent leurs ventes, leur chiffre d'affaire et donc indirectement les artistes qui sont leur outil de travail. Le SPEDIDAM ne défend que les artistes et collectant des rémunérations qui leur sont reversées (copie privée, Sacem....) Si le Spedidam est favorable à un abonnement forfaitaire des internautes leur donnant ainsi officiellement accès aux fichiers internet protégés sans crainte de poursuites, le SNEP s'y oppose, arguant que ce prélèvement ne saurait compenser les énormes pertes qu'ils attribuent aux téléchargements illicites. Et c'est là que se situe le noeud du problème. L'un voudrait une compensation pour les artistes, tandis que l'autre la voudrait pour sa perte de chiffre d'affaire estimée. Revenons à la loi DADVSI. Son vote dans l'urgence rend la situation pou...

Droit d'auteur vu par les artistes... ()

Voici un texte paru dans la revue Actualités SPEDIDAM n° 42, oct 2004 à travers lequelle la Spedidam donne son avis sur la copie privée. Cette revue est téléchargeable dans son intégralité à cette page. La Spedidam est la société de perception des droits d'auteurs de musique... Extrait : COPIE PRIVEE Depuis des mois, les multinationales du disque, au motif d'une protection contre la piraterie, mettent en place des systèmes limitant la copie privée en ne la permettant qu'avec certains types de matériels, ou en ne rendant possible qu'une copie détériorée mais audible, voire interdisant purement et simplement la copie. Les techniques visant à limiter ou interdire la copie privée, mises en place par l'industrie du disque sans la moindre concertation avec les organisations d'artistes interprètes, attisent les différends. Une fois encore, les enjeux sont essentiels pour l'avenir des artistes interprètes et de leurs droits, et la problématique est simple : les droits des artistes interprètes vont-ils être préservés par un système juridique leur garantissant une rémunération dans le cadre de la gestion collective de leurs droits ou l'industrie va-t-elle pouvoir tout contrôler en s'appropriant ces droits ? Le développement des techniques numériques apporte toutefois un nouvel élément dans cette lutte entre les logiques commerciales et celles de la protection des droits des créateurs car cette fois, les intérêts des consommateurs et des artistes interprètes n'ont jamais été auss...

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