Après la décision du Conseil constitutionnel sur le projet de loi DADVSI, le directeur général du Snep revient sur la lutte contre le piratage et les perspectives d'avenir de la musique en ligne.
Le SNEP ne veut pas abandonner l'idée de filtrer les réseaux P2P, voire de les bannir totalement des tuyaux des opérateurs de télécommunications. Malgré la publication de tests qui mettent en doute la possibilité technique et financière de mettre en place un filtrage généralisé de l'échange de fichiers, le directeur général du Syndicat national des éditeurs de phonogrammes (SNEP) demande [Lire la suite]
Mise en place d'outils de régulation des contenus circulant sur les réseaux peer-to-peer, objectifs chiffrés de réduction du piratage, déploiement de la riposte graduée... Le Snep remet la pression sur le gouvernement et les opérateurs.
Pour la première fois, la justice belge a ordonné à un fournisseur d'accès de filtrer les chansons piratées échangées sur les réseaux peer-to-peer . La société des auteurs belges demande à tous les fournisseurs de mettre en place un filtrage similaire.
Le gouvernement australien, par la voix de son ministre des communications et de l'économie numérique, semble avoir fait un pas en arrière dans le projet de filtrage des contenus sur Internet. Stephen Conroy a en effet déclaré que le gouvernement australien n'avait jamais eu l'intention de filtrer le trafic peer-to-peer. Déclaration politique ou véritable changement de mentalité en Australie ? [Lire la suite]
Hervé Rony, directeur général du Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP), a répondu à quelques unes de nos questions sur le marché du disque et la situation du piratage en France.
Nos confrères de PC Inpact nous proposent
Les experts des principaux éditeurs antivirus ont publié la description d'un ver qui exploite les réseaux d'échange peer-to-peer (P2P) pour se propager et infecter les machines avec une variante du célèbre ver Rbot.
Après les jeux vidéo, les fichiers musicaux échangés sur les réseaux peer-to-peer devraient prochainement être sous surveillance.
Arbor Networks spécialisée dans la sécurité des réseaux vient de publier une étude qui révèle que le peer to peer ne représente plus que 18 % du trafic Internet
Blue Security, société spécialisée dans le développement de solutions antispam et antispyware vient de publier un rapport montrant comment les réseaux peer-to-peer (P2P) permettent aux spammeurs de recueillire les adresses e-mail des utilisateurs.
Forte d'une victoire judiciaire contre un fournisseur d'accès, la Sacem belge exige de tous les FAI du pays l'adoption d'un dispositif de filtrage sur leurs réseaux. Cette affaire pourrait relancer en France les ayants droit, qui revendiquent la même mesure.
Aujourd'hui les « têtes pensantes » de l'Internet réfléchissent à des normes techniques qui prennent en compte les exigences des internautes du 21ème siècle, qui téléchargement massivement des contenus très volumineux via les réseaux peer-to-peer.
Une mauvaise nouvelle pour les adeptes du peer to peer :- WinMX, plateforme d'échange pesant environ 10% du trafic peer to peer, ne répond plus. Suite à la décision de la Cour Suprême des Etats Unis (voir cette note),...
Alors qu'en France, les maisons de disques font actuellement le forcing pour obtenir l'interdiction des réseaux peer-to-peer sans DRM, aux États-Unis, elles soutiennent activement ce type de logiciels.