La mission interministérielle sur les algues vertes toxiques envahissant une partie du littoral breton a été mise en place mercredi et devra remettre ses conclusions à François Fillon en décembre, a annoncé Matignon.
La mission interministérielle chargée de proposer un plan de lutte contre les algues vertes a été mise en place le 16 septembre 2009 par François Fillon. Cette initiative avait été annoncée par le Pre...
Alors qu'un rapport confirme que les gaz émis par les algues vertes peuvent être mortels pour l'homme, François Fillon a annoncé jeudi la création d'une mission interministérielle sur ce problème. » Algues vertes : le risque pour l'homme est confirmé
François Fillon a annoncé une mission interministérielle sur la gestion du risque des algues vertes et Chantal Jouanno a dévoilé les résultats d'une étude soulignant que les algues vertes sont un vrai risque pour la santé. Réaction de France Nature Environnement. Selon cette étude, les algues vertes en décomposition sur les plages présentent un vrai risque pour la santé. Elle précise que la concentration d'hydrogène sulfuré peut dépasser les doses mortelles. Les détections (...)
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Planète
Huit communes bretonnes touchées par les marées vertes vont être indemnisées par l'Etat pour les frais de ramassage des algues vertes engagés en 2009, a annoncé le préfet de Bretagne, alors que la mission interministérielle mandatée par le Premier ministre prenait ses fonctions mardi.
Suite à l'étude conduite par l'Ineris cette semaine, le premier ministre François Fillon a annoncé un plan d'action pour lutter contre la prolifération des algues vertes en Bretagne responsables d'émanations toxiques lors de leur décomposition.
[Sous le vent les pieds sur terre]
Bezhin glas, trawalc'h gant ar c'hoari lazh ! Algues vertes, Assez avec les jeux qui tuent ! Conférence à Trebrivan : Algues Vertes et émanations toxiques : les effets sur la santé de l'hydrogène sulfuré.
INFO FIGARO - Après l'incident survenu le mois dernier sur une plage des Côtes d'Armor, causant la mort d'un cheval et le malaise de son cavalier, les analyses révèlent des niveaux très élevés d'hydrogène sulfuré, un gaz létal. Fillon annonce la création d'une mission interministérielle.
INFO FIGARO - Après l'incident survenu le mois dernier sur une plage des Côtes d'Armor, causant la mort d'un cheval et le malaise de son cavalier, les analyses révèlent des niveaux très élevés d'hydrogène sulfuré, un gaz létal. Fillon annonce la création d'une mission interministérielle.
Les algues vertes du littoral breton, connues aussi sous le nom de laitues de mer, ne sont normalement pas toxiques mais lorsqu'elles s'accumulent et se décomposent, elle dégage de l'hydrogène sulfuré qui lui l'est à forte concentration. La marée verte prenant de l'ampleur, un véritable problème de santé publique se pose comme l'illustre le décès d'un cheval sur le littoral des Côtes-d'Armor, fin juillet.
Cela fait déjà un moment que certains s'inquiétaient de la prolifération sur les côtes...
Le ministère français de l'écologie a annoncé, mardi 3 novembre, renoncer à faire appel de sa condamnation en 2007 par le tribunal administratif de Rennes dans une affaire concernant la prolifération d'algues vertes sur le littoral breton.
On est là parce qu'on pense à nos enfants et à nos petits-enfants, explique Christine Le Floch, venue en famille et entre amis dimanche après-midi sur une plage des Côtes-d'Armor pour protester contre la prolifération d'algues vertes sur le littoral breton.
Un cheval qui meurt, en plein été, après s'être enlisé sur une plage couverte d'algues vertes, et c'est toute une région qui s'inquiète.
Annoncé en août 2009 par le Premier Ministre François Fillon lors de sa visite en Côtes-d'Armor, le plan d'action du gouvernement pour lutter contre la prolifération des algues vertes en Bretagne a été présenté dans ses grandes lignes en Conseil des ministres par la secrétaire d'Etat à l'écologie Ch...
[ABP]
Quelques heures avant l'ouverture du procès sur la prolifération des algues vertes devant la cour administrative d'appel de Nantes, l'état a abandonné sa procédure d'appel du jugement émis en 2007 par le tribunal administratif de Rennes qui le considérait responsable de la prolifération des algues vertes sur le littoral breton.
Au cours de l'audience qui s'est déroulée tout de même, le rapporteur public a demandé à ce que soient augmentés les dommages et intérêts versés aux associations de défense de l'environnement : 15.000 euros (contre 2.000 euros lors de la condamnation de 2007) pour Eaux et Rivières de Bretagne, et 3.000 euros pour les trois autres associations.