Stéphane Diagana a participé, vendredi à Nice à une conférence débat organisé par le CERAM Bachelors, sur les moyens de concilier le sport de haut niveau et les études supérieures. L’occasion de rencontrer l’ancien Champion du Monde de 400 mètres haies, pour parler de ce sujet, mais également de son parcours personnel et de sa perception sur le passage mouvemente de la flamme olympique à Paris.
Ce n’est pas un hasard si le CERAM Bachelors a organisé une conférence débat sur les moyens de concilier le sport de haut niveau et les études supérieures, puisque cela fait 17 ans que le CERAM œuvre dans ce domaine. Une action reconnue aujourd’hui par la signature d’une convention avec la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports.
Nice va bientôt accueillir un centre d’entraînement permanent des équipes de France, créé en partenariat avec la Fédération Française d’Athlétisme. Un projet qui sera piloté par l’ancien champion du Monde du 400 mètres Haies, Stéphane Diagana, qui est depuis longtemps convaincu que la Côte d’Azur dispose de tous les atouts pour accueillir les athlètes de haut niveau.
Stéphane Diagana sera le premier relayeur de la flamme olympique qui sera de passage à Paris le 7 avril prochain. S'il en éprouve de la fierté, il veut aussi rappeler la Chine à ses engagements sur les droits de l'homme. L'ancien champion du monde et d'Europe du 400 mètres haies, 38 ans, n'a jamais participé aux Jeux olympiques, son physique fragile le privant d'Atlanta puis de Sydney. C'est une fierté d'être désigné porteur de flamme. C'est un moment symbolique et j'espère que de cette (...)
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Actu. Athlétisme
Stéphane Diagana, ex-spécialiste du 400m haies, est le président de la Ligue Nationale d'Athlétisme, créée début 2007 pour encadrer le haut niveau. L'Internaute Magazine a voulu connaître les objectifs de la structure.
Quatrième aux JO de Barcelone en 1992, Stéphane Diagana se faisait une joie de porter la flamme olympique. Désigné premier porteur, il a vite déchanté et regrette que la flamme ait fini dans un bus. Stéphane Diagana, qu'est-ce que cela fait de porter la flamme ? C'est une émotion car ça représente beaucoup quand vous avez été sportif et que vous avez eu l'occasion de participer aux Jeux. J'ai eu cette chance une fois et ça représente beaucoup de valeurs. Donc (...)
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Actu. Athlétisme
L'ancien champion du monde du 400 mètres haies se dit "fier" de pouvoir porter la flamme à son passage à Paris, le 7 avril, et ajoute qu'il compte "faire passer un message" sur les droits de l'homme.
La convention signée récemment entre la ville de Nice et la Fédération Française d’Athlétisme prévoit notamment la création d’un centre permanent d’entraînement des équipes de France. L’occasion de rencontrer Stéphane Diagana, qui sera chargé de piloter ce projet, afin d’évoquer les travaux nécessaires à réaliser pour que ce centre puisse accueillir dans les meilleures conditions les athlètes de haut niveau.
Stéphane Diagana portera lundi la flamme olympique. Le retraité du tour de piste, actuel président de la Ligue nationale d'athlétisme, est prêt, à cette occasion, à se rallier à la cause des défenseurs des droits de l'homme. Stéphane Diagana, comment réagissez-vous face aux remous nés de la volonté de certains athlètes de protester pour les droits de l'homme lors des Jeux Olympiques de Pékin ? Les athlètes doivent garder leur liberté d'expression. Ce n'est pas (...)
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Actu. Athlétisme
La flamme olympique partira lundi 7 avril depuis le premier étage de la Tour Eiffel et parcoura 28 km dans la capitale et sa proche banlieue, avant de s'arrêter au Stade Charléty, à deux pas du siège du Comité national olympique et sportif français (CNOSF). L'ancien champion du monde du 400 m haies Stéphane Diagana sera le premier des 80 relayeurs qui passeront notamment devant l'Assemblée Nationale et les Champs Elysées. Parmi les porteurs, on compte notamment Vanessa Boslak, Teddy Riner, (...)
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Actu. Athlétisme
Partie des mains de Stéphane Diagana, la flamme olympique doit traverser Paris lundi. Un parcours perturbé par de nombreux incidents. Dernier en date le changement de parcours pour éviter l'arrêt place de l’Hôtel de Ville.
